Une discipline de rodéo consistant à rester au moins huit secondes, sur le dos d’un taureau survolté, en n'ayant qu'une seule main accrochée à une corde. L'autre doit être tenue en l’air et ne jamais toucher l’animal, sous peine d’élimination. Pour se protéger d'une chute brutale, les bull riders sont habillés d’un gilet et de jambières de protection et coiffés d’un casque. Toute chute a pour résultat un score nul.
"Pour pratiquer ce sport, nous sélectionnons les taureaux qui ruent naturellement et qui ont en eux le gène de la ruade", explique Sandrine Baldon, éleveuse de bovins en Normandie. "Lors du dressage des taureaux, il y en a qui acceptent l’homme sans bouger et d’autres qui se mettent à ruer, mais, en aucun cas, nous ne maltraitons nos taureaux pour les faire ruer." Organisé par des éleveurs de taureaux du Nord et du Sud de la France le rodéo de Paris se déroulait en trois manches. Le vainqueur étant celui ayant accumulé le plus grand nombre de points. C'est le bull rider Polonais Daniel Kociok qui a remporté cette compétition, suivi du Hollandais Joey Godderij et du Belge William Junior Dougan.
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