
D'où
vient votre amour des Etats-Unis ?
De mon enfance, car j'ai subi les influences musicales de
mes parents, qui écoutaient de la musique des sixties
et des seventies et étaient fans du festival Woodstock. J'ai
donc grandi avec la musique de Janis Joplin, Led Zeppelin, ZZ Top, Joe
Cocker et Neil Young. Donc, pour ce qui est de musique américaine, j'ai été bien servie.
Comment
en êtes-vous venue à vous produire avec un groupe ?

Vous
écrivez et composez de plus en plus vos chansons ?
Oui,
je collabore de plus en plus sur mes derniers albums, parce que je
trouve cela très enrichissant et je travaille aussi avec des
paroliers américains, notamment, comme Angela Randall. Je fais
également de plus en plus de collaborations avec mes musiciens et je
trouve cela super. Parce que je compose, j'écris, mais c'est
toujours plus positif quand quelqu'un vient mettre une touche
supplémentaire et que l'on dit : là c'est encore mieux et ça
c'est classe !
A
l'école, vous aviez des prédispositions pour l'anglais ?
Oui,
je me débrouillais plutôt pas mal en anglais et mes voyages ont
complété ma pratique de la langue. Et puis, le fait que ma
grand-mère soit anglaise et l'influence de la musique américaine
qu'écoutaient mes parents, cela m'a beaucoup aidé pour écrire les
paroles de mes chansons.
Aux Etats-Unis, vous avez fait une rencontre à l'origine de l'un des titres de votre dernier album, "No One Else" ?
En
effet, lors de l'un de mes road-trips, j'ai rencontré David Quick
dans une jam et il m'a offert l'une de ses chansons. Deux mois plus
tard, je suis retournée aux Etats-Unis pour le retrouver et
enregistrer cette chanson avec lui. Donc, cela a été un beau
challenge et quelque chose d'unique, c'est pourquoi on y ressent
quelque chose d'émotionnel. Cette chanson a déclenché le
lancement de toute l'écriture de mon nouvel album.
Propos et photos recueillis par Herve CIRET
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