L'acteur
principal de ce film à petit budget avait joué les super-héros
dans "Blade" (1998), une adaptation d'un personnage
de comic Marvel. Dans "American Hero" de Nick Love, pas d'adaptation de comics américains.
Stephen Dorff, alias Melvin, est un trentenaire paumé,
après son divorce. Un "anti super-héros" vivant
chez sa mère, dans un quartier glauque de la Nouvelle-Orléans
(Louisiane), où il végète, entre drague, saouleries et une addiction à la drogue. Jusqu'au
jour où, notre "super-héros pour les nuls" réalise que
son unique chance de revoir son fils - que la justice lui interdit de
voir - est de redorer son blason, en exploitant son super pouvoir : débusquer une bande de trafiquants de drogues, en faisant bouger les objets, par sa
seule pensée. Ce qu'on appelle la télékinésie. Au point d'adopter
la devise de Spider-Man, "De grands pouvoirs impliquent de
grandes responsabilités". Mais, Melvin va très vite apprendre qu'on ne s'improvise pas super-héros. Même avec l'aide avec un ami
d'enfance, vétéran de la guerre en Irak.
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